Terma 98 : Le Mari De Ma Grande SœUr Chez Nous En Vacances (2)

Le lendemain matin, quant notre gendre Kadda est parti à la plage, je l’ai suivi d’bord de loin, puis quant ses amis sont tous venus et se baignaient avec lui, j’ai rejoins le groupe. Il m’a présenté comme un nouvel ami et je me suis rapidement intégré au groupe. Après une demi-heure de baignade puis de repos sur le sable, Mr Kadda m’a désigné, parmi le groupe, l’ami qui lui avait prêté les revues gay. C’était un beau jeune homme, de mon âge, imberbe et son short de bain collait bien à ses fesses bien remplies, bien arrondies. Comme il me l’avait dit hier soir, ce jeune homme, dans l’eau, essayait de se frottait le derrière sur le bas ventre de Mr Kadda qui, à son tour, accentuait la pression, faisant sentir au jeune homme que sa queue était bandée, prête à satisfaire son désir de sodomie. J’attendais avec impatience ce moment. Quelques instants plus tard, et comme prévu, Mr Kadda leur dit qu’il allait faire ses besoins aux toilettes, pas très loin, la bas à l’orée de la plage et qu’il revient dans un quart d’heure. Après son départ, à peine deux minutes, alors que tout le monde se baignait bruyamment, le jeune homme en question s’éclipsa à son tour et je l’ai suivi de loin. Il a rejoint les toilettes où l’attendait dehors Mr Kadda. Ils entrèrent ensemble dans le cabinet d’un des WC, il y en avait cinq et en face des douches externes. La porte fermée, j’ai vite entendu leurs chuchotements, puis leurs halètements et gémissements de plaisir. Les claquements nets du bas ventre de l’homme sur les fesses du jeune étaient suffisamment clairs des vas et viens du zeb dans le cul. J’ai collé mon oreille et les bruits de sussions mouillées des vas et viens du zeb dans le cul ont commencé à m’exciter. J’imaginais la scène de la grosse bite avec ses vas et viens dans le cul du jeune, surtout les pénétrations vigoureuses du zeb car chaque fois, l’homme poussait un « han » pour mieux s’enfoncer au maximum. Je pensais aux couilles qui bombardaient les cuisses du jeune et augmentait ses jouissances, et ça continuait à me faire bander.

De temps à autre, un plus long gémissement assez fort, presque un petit hurlement, c’était le jeune qui exprimait les chocs de jouissances que le zeb lui procurait. Parfois c’est souffle rauque et une sorte de chuchotement du jeune appuyant les « han » de l’homme. Trop excité, de peur de me découvrir, j’ai préféré m’éloigner, mais sans perdre de vue le cabinet. Dix à quinze minutes plus tard, la porte du WC s’entrouvrit discrètement. Comme à ce moment, il n’y avait personne dans cette zone, Mr Kadda sortit du WC, tenant sa queue à la main et se dirigea prestement vers les douches, juste en face. Tout de suite après, le jeune homme sortit, finissant de remonter sur sa Terma, son short de bain, trop étroit. Il rejoignit Mr Kadda qui lavait son zeb, et ils se douchèrent ensemble. Comme Mr Kadda avait son zeb en l’air, le jeune, assez courbé, l’empoigna pour l’avaler et le sucer et le branler énergiquement. Puis, il abaissa un peu son short par derrière pour se retourner et frotter ses fesses avec le zeb de l’homme. On voit bien qu’il en avait encore envie. Cela m’a donné un gout sur les perspectives de ma soirée avec le zeb de Mr Kadda. Heureusement la zone était vide. Rapidement, pressé par l’homme, le jeune a libéré le zeb et a remonté son short, et les deux compères sont repartis vers les plages.
Comme mon propre zeb était bandé à me faire mal, des scènes que j’ai vues, j’ai décidé de me branler. Alors, je suis entré dans le même cabinet car je voulais, si possible, m’exciter sur les odeurs de la sodomie précédente et du sperme. Assis sur le bidet, le short descendu sur mes pieds, je me suis salivé puis branlé le zeb. J’ai fermé les yeux pour m’imaginer la sodomie précédente, surtout le gros zeb de Mr Kadda. Alors, j’ai eu l’idée de reculer à fond mes fesses sur le bidet, et me penchant assez en arrière, pour dégager ma partie inférieure. J’avais maintenant accès par une main, à mon anus par-dessous mes couilles. Pendant que je me branlais avec l’autre main salivée, je me suis frotté l’anus puis j’y ai glissé mon doigt qui s’est enfoncé entièrement sans problème.
J’ai eu l’impression que mon anus frétillait tout seul et que mon cul était humide, c’est ce qui a facilité la pénétration du doigt. Alors je me suis branlé le zeb tout en faisant aussi des vas et viens du doigt dans mon cul. Mon idée a été merveilleuse, je sentais le plaisir à fond dans mon zeb et dans mon cul et je forçais de plus en plus. A un moment, je ne pouvais plus me maitriser ma cadence ni m’arrêter même si quelqu’un aurait ouvert la porte, même si j’étais en public. J’étais totalement pris par les jouissances de mon zeb d’un coté et de mon cul de l’autre et j’accélérais. Je me défonçais le cul maintenant avec deux doigts, et sans problème et je gémissais bruyamment sans gêne. Mon souffle était haletant et bruyant et je vibrais et soulevait un peu mon bassin, sur le bidet. Enfin, quant l’éjaculation arriva, forte et abondante, par trois fois, j’ai hurlé. Quelques instants après, un peu calmé, j’ai pris conscience que j’avais toujours mes deux doigts plongés complètement dans mon cul. J’ai fais quelques vas et viens et mes sensations étaient encore agréables dans mon cul, alors j’ai continué. Caresser et lustrer le cul avec deux doigts mouillés et soudain mon zeb qui s’était couché par les éjaculations, reprenait vie et bandait de nouveau et j’ai recommencé à me branler, doucement puis en accélérant devant et derrière. Mon souffle reprenait sa cadence puissante et mon excitation s’amplifiait de nouveau. C’était si agréable des deux cotés, surtout derrière, que cette fois aussi, je n’étais plus capable d’arrêter. Et enfin, ma tentative a réussi. Soudain, comme tout à l’heure, mon zeb a éjaculé, pas fortement certes, mais du sperme jaillissait assez pour faire vibrer agréablement mon cul et me donner quelques sursauts de jouissances. J’étais presque allongé sur le bidet, épuisé, le cul bien en l’air par-dessous mes couilles, et mes doigts toujours dans mon anus. Enfin calmé, j’ai réajusté ma position sur bidet, puis j’ai retiré mes doigts de mon cul. Mon autre main était pleine de sperme dont une partie était sur mes cuisses et sur mes couilles.
J’en ai pris assez sur ma main et sur les doigts qui m’avaient pénétré puis, me soulevant un peu, je me suis lubrifié le sillon des fesses et j’ai enfoncé du sperme dans mon cul et j’ai serré les fesses. Tout cela pour ressentir du sperme dans mon cul confondant mes doigts au zeb de Mr Kadda. Je me rendais compte que j’étais accroché et que je devais, en urgence, me faire pénétrer le cul par son gros zeb et me remplir de son sperme. Des sensations inédites et agréables, j’aurais tant voulu que l’homme soit ici, j’étais prêt à lui offrir immédiatement tout qu’il voudrait, mon cul et tout mon corps. Puis je me suis calmé. Alors, je me suis un peu nettoyé grâce au petit robinet du cabinet, avant de remonter mon short et de sortir du WC.
Heureusement cette zone était toujours vide. Je suis allé moi aussi me doucher et me nettoyer complètement, et après j’ai rejoins, discrètement, le groupe. Je pensais avoir été discret, mais Mr Kadda m’a prit sur le coté pour me dire, avec un sourire complice, qu’il savait que je les avais espionnés et que cela a du m’exciter alors que j’étais derrière la porte du cabinet. J’ai avoué que c’était vrai et que je me suis branlé après et éjaculé. Il m’a dit que j’aurais du me montrer car la Terma du jeune homme avait encore envie de zeb et qu’il m’aurait laissé l’enculer et éjaculer dans son cul encore chaud. Je n’ai pas voulu lui avouer que ce n’était pas d’un cul que j’avais envie mais de son gros zeb pour ma propre Terma. Heureusement que j’ai toute la soirée pour réparer cela. La journée terminée avec ses obligations et ses habitudes, on s’est trouvé au diner vers 23h. Puis on est parti dans le studio de Mr Kadda, chacun à son tour, discrètement pour ma part. Il m’attendait à l’intérieur, couché sur le lit, et totalement à poil, le zeb déjà vertical. Nous avons fermé porte et fenêtre et je me suis débarrassé de ma chemise et de mon short. Quant il a eu ma croupe à sa disposition, il s’est mis à genoux derrière moi, et enlaçant mes hanches, mes fesses, puis il a collé sa bouche et son nez de le sillon des fesses et sur mon anus palpitant.
Il m’a léché longuement, essayant de pénétrer sa langue dans mon anus, puis il m’a poussé sur le lit, à genoux, la tête sur le drap, la Terma en l’air et les cuisses largement écartées. J’étais à lui, totalement nu et offert à son plaisir, à son gros zeb d’homme viril et aimant les Terma. Ensuite, il s’est occupé de mon cul. Il avait apporté, je ne sais comment, une pommade pour me lubrifier l’anus et le cul. Elle était froide et lisse quant il l’a appliquée sur mon anus et pénétré mon cul. Grace à cela, un doigt puis deux m’ont pénétré et limé l’intérieur du cul, tout en essayant d’élargir mon ouverture. Je poussais fort pour aider. Et enfin, je crois qu’il y est arrivé, car je me sentais complètement ouvert et que j’avais deux doigts dans le cul, sans douleurs. Puis il a voulu ajouter le troisième doigt et il a poussé mais cela a été plus difficile, l’élasticité de mon anus résistait et c’était assez douloureux. Mais j’avais envie, alors j’ai accepté la douleur et je me suis détendu comme il me l’a demandé. Il fallait que j’essaie d’oublier, au moins un peu, un petit instant, ce qui se passait entre mes fesses. Et ça a marché, quelques minutes plus tard, tous ces doigts étaient en moi et me branlaient doucement. Il parvenait même à ouvrir un peu ses doigts dans mon cul et augmenter l’ouverture de mon anus. Alors il est passé à l’action du zeb. Il a commencé par le lubrifier avec la pommade, puis à faire des vas et viens dans le sillon de mes fesses, enfin à le pointer sur l’entrée de mon anus. Il m’a encore demandé de me détendre et de penser à autre chose. Je me suis rappelé ce qui passait dans le cabinet de la plage. Cela m’a retenu l’esprit et quant j’ai repris conscience, la grosse tête du zeb de Mr Kadda était à l’intérieur de mon cul. Il m’avait pénétré en douceur, il m’avait dépucelé pratiquement sans douleurs. Je ressentais le zeb en moi et ce fut une sensation formidable. J’étais possédé par un homme, mon cul avait été défoncé par le zeb d’un homme viril qui allait maintenant m’enculer, me sodomiser. Il poussa doucement son zeb qui glissa lentement dans mon cul grâce à la pommade. Certes, mon anus résistait à son écartement intérieur, mais si peu que ce fut plutôt une sensation agréable de possession. Il m’a encore demandé de me détendre et d’ouvrir mon cul comme si je faisais un besoin. J’ai obéit et soudain son zeb me pénétra en force et en vitesse. Ce n’est qu’à ce moment que j’ai eu vraiment mal et j’ai crié et essayé de me détacher du zeb. Mais l’homme, conquérant, m’a tenu fortement par les hanches et poussa encore son zeb dans mon cul, jusqu’aux couilles qui ont claqué sur mes fesses. On est resté une minute peut-être sans bouger et la douleur s’est estompée doucement. Puis il a fait une ou deux vas et viens internes et rapidement, je n’avais plus mal. Rapidement mon cul s’est adapté au volume de son zeb et j’avais eu l’impression qu’il coulait, qu’il était humide contre le gros zeb. Mr Kadda m’a expliqué que c’était ma Terma qui lançait son suc de désir pour se lubrifier et accepter facilement les mouvements du zeb. Je croyais qu’il n’y avait que les chattes des femmes qui mouillaient de désir. Maintenant, son gros zeb se mouvait facilement et complètement en moi et commençait à me faire des effets agréables. Maintenant, ça y est j’étais vraiment dépucelé et mon cul acceptait d’être sodomisé, niqué comme on dit érotiquement, un mot qui commençait à m’exciter et faire vibrer tout ma cors et mes fantasmes en tête.
Puis, suivant son conseil, j’ai essayé de faire pression sur son zeb avec l’intérieur de mon cul, en aspirant et décompressant son zeb avec mes muscles internes. Après quatre ou cinq essais positifs, je ressentais son zeb normalement et totalement en moi, et je lui ai dis qu’il pouvait continuer. Il fit quelques vas et viens légers puis profonds jusqu’aux couilles et son zeb glissait normalement et je n’avais même pas mal, juste une sorte de gêne de ce corps étranger en moi, souples et dur à la fois, chaud et doux à la fois, mais qui commençait à me griser de sensations agréables. L’impression que mon cul était humide se confirmait de plus en plus par les glissements agréables du gros zeb, complètement adapté à mon cul. Alors que ma respiration s’accélérait et mon souffle haletait de plaisir, Mr Kadda comprit qu’il fallait passer à la vitesse supérieure. Il démarra une longue série de vas et viens de son zeb, des coups de reins avec des « hans » dont je comprenais maintenant la signification et mes gémissements bruyants, automatiques. Le gros zeb et ma Terma étaient en phase et les coups de reins de l’homme secouent tout mon corps sur le matelas. Je m’entendais hurler et je ne pouvais pas m’arrêter. Mon cul chauffait, brulait sur les frottements du zeb dans ma chair interne et j’en voulais encore et encore. L’homme hurlait aussi et on était pris dans un tourbillon de plaisirs et de jouissances par nos deux sexes. Au milieu de cette frénésie de désirs, j’ai eu la preuve, que je soupçonnais seulement, de ce que peuvent donner en plaisirs et en folles jouissances, un gros zeb puissant, viril et un cul ouvert, profond et chaud. Ma Terma était donc un trésor, un puits de jouissances qui n’avait besoin que d’un zeb d’homme assez dur. Et j’attendais le zénith du plaisir, son éjaculation. Je continuais à hurler et haleter et lui à souffler fort et à crier ses « hans » rythmé par ses coups de reins. Il plongeait son zeb jusqu’au fond de mon cul, jusqu’à presque faire pénétrer ses couilles, puis le retirant presque à la sortie, ce qui me donnait aussi un rythme de plaisirs alternatifs de pénétration et de frustrations follement agréables. Quant il retire son zeb presque à l’entrée de mon cul, c’est un type de plaisir, et quant il l’enfonçait en puissance dans mon cul, c’est un autre type de jouissances fortes, enfin quant il arrive au fond de mes entrailles et s’arrête un peu, la sensation de remplissage et de possession complète était aussi un troisième type de jouissances. Ensuite, il commença à accélérer et son zeb me brulait le cul et les trois types de sensation s’ajoutaient, se confondaient et l’ensemble devint une folle jouissance qui m’étourdissait. Je perdais la notion de lieu, de temps et seul ce qui se passait dans mon cul imprégnait mon corps et ma tête. Un moment donné, je n’étais plus maitre de quoi que ce soit et c’est l’homme et son gros et long zeb qui me dominaient, qui me faisaient vivre, respirer et haleter fortement, mon cœur battait à fond et je n’étais plus moi-même. Il me sodomisa pendant un long moment que je ne pouvais concevoir et quant son plaisir arriva, il projeta ses jets de sperme chaud, brulant dans mes entrailles, par trois fois et quelques, appuyées chaque fois, par un coup de reins puissant, comme pour essayer de s’enfoncer encore plus dans mes entrailles. J’avais perdu conscience dans le plaisir et les jouissances continues et ce ne sont que les violents jets de sperme qui m’ont ramené à la conscience, à la vie de ce qui se passait. J’étais sodomisé, niqué à fond de couilles par notre gendre Mr Kadda dans son studio.
Je me suis effondré à plat ventre sur le lit et il m’a laissé faire en se couchant sur mon dos, son zeb toujours au fond de mon cul. La sensation de son corps nu sur le mien, était enivrante, fantastique et complétait la sensation, dans mes entrailles, de son gros zeb toujours allongé et dur. Enfin la folle sensation de son sperme qui me remplissait encore le cul et à fond, ajoutait à tous ces plaisirs. J’étais noyé de jouissances et le fait que mon cul écarté au maximum et bouché par ce gros zeb me donnait le tournis dans la tête. Maintenant que j’ai pris conscience, j’essayais de maitriser un peu la situation de ce gros zeb dans mon cul. Je fantasmais sur cette image par mes sensations et j’essayais de remuer ma Terma. Voyant cela, Mr Kadda m’a aidé en se soulevant un peu et j’ai pu faire quelques petits mouvements à ma Terma pour bien ressentir le zeb qui occupait mon cul et je faisais aussi des serrements de fesses et de pressions sur le zeb avec mes muscles internes. Tout cela ajoutait aux jouissances reçues et j’avais l’impression que c’était mon cul qui dominait ce zeb et non le contraire. Je comprenais la nouvelle force de ma Terma et les trésors qu’elle détenait. Il essaya de ma calmer en me faisant quelques tapes et caresses sur les fesses et en me donnant quelques bisous derrière l’oreille. Puis il s’est retiré, j’ai senti son sperme couler de mon cul vers mes couilles et cuisses, puis un grand vide dans mon anus. J’étais certain qu’il était ouvert comme une bouche affamée. Il avait besoin d’être rebouché par ce gros zeb, alors j’ai serré les fesses et mon anus s’est refermé. Cela m’a rassuré, je ne voulais pas que mon cul reste continuellement ouvert. J’étais heureux de la souplesse de mon anus, qui pouvait s’ouvrir à de gros zeb mais aussi se refermer pour mon profit. Je restais couché sur le ventre mais Mr Kadda me demanda de me lever et de marcher un peu pour rendre mes muscles sexuels à leurs places et j’ai obéis. Mais mes cuisses étaient pleines de sperme et je suis allé me nettoyer dans les toilettes. Je ne me suis pas douché complètement, juste nettoyé le cul et les cuisses. Je voulais garder encore la sensation et l’odeur de l’homme, de son zeb et de son sperme, mais ce que je désirais encore plus maintenant, c’est une autre sodomie. Oui, ma Terma, comme celle du jeune de la plage, ne se suffisait pas d’une seule sodomie, elle avait envie de ce zeb, gros et puissant pour m’étourdir comme tout à l’heure, ressentir cet ensemble de jouissances qui font vibrer tout mon corps.
Alors, je revins au lit pour me saisir d’autorité de ce gros zeb encore gonflé car Kadda s’était simplement allongé sur le dos, le zeb recourbé en partie, mais toujours lourd de désir viril. Agenouillé sur le lit j’ai commencé à le lécher, le sucer et le branler avec vigueur et rapidement, il s’est redressé à la verticale, puissante et dure, prêt au combat. Étant étendu juste à coté de l’homme, ma Terma attira ses mains pour des caresses en surface, sur les fesses et leur profond sillon, vers l’anus et le cul, puits des plaisirs. Il leur donna quelques lèchements de langue et quelques baisers sonores, enfin il réussit et d’enfoncer sa langue dans mon anus qui la reçue en vibrant de désir. Encore une fois, je me suis déplacé pour m’assoir sur sa poitrine, empoignant son zeb gonflé, j’ai reculé de façon à avoir la queue juste au dessus de mon anus. Puis je suis descendu pour enfoncer le zeb dans mon cul, jusqu’au fond, jusqu’à m’assoir complètement sur son bas venter. Le zeb complètement enfoncé en moi, je me sentais, cette fois, le maitre de la situation. Puis j’ai commencé à branler le gros zeb avec mon cul en faisant danser ma Terma. Parfois par des hauts et des bas, parfois en dansant et ondulant de la Terma. Ressentant toutes ces jouissances follement agréables, je me suis encouragé et accéléré mes mouvements. J’étais face à Mr Kadda, mais à sa demande, j’ai changé de position en lui tournant le dos. Pour moi, il n’y a rien de changer, je dansais toujours à mon aise sur son zeb qui pointait toujours vers le haut et qui tournait en fonction de que je lui faisais avec mon cul. Pour Mr Kadda, c’était différent, il avait maintenant mon dos, mes hanches, mes fesses, mon cul, enfin tous les trésors de ma Terma, devant lui bien en face. Il voyait son zeb, qui écartait à fond mon anus et qui s’enfonçait totalement ou en partie dans mon cul. Mon anus qui s’ouvrait au volume de sa grosse queue devait l’exciter encore plus. Nos jouissances se compétaient par nos gémissements et nos hurlements et s’amplifiaient mutuellement jusqu'à ce que je sois, moi le maitre de cette sodomie, à vaincre son zeb qui va être obligé de cracher son jus de plaisir. Et en effet, après toutes ses résistances et les plaisirs et jouissances qu’ils me donnait et me faisaient gémir et crier, son zeb abandonna la partie. Alors, Mr Kadda prit les choses en mains qui m’empoignèrent fermement les hanches pour prendre possession de la sodomie, il m’empoigna les hanches car son zeb, enfin dompté par ma Terma, allait cracher son jus. Effectivement après trois ou quatre coups de reins puissants vas et des viens accélérés, Mr Kadda éjacula par trois puissantes et abondantes éjaculations. Je suis resté immobile pour recueillir le maximum de son jus dans mes entrailles, puis il se calma. Je suis resté figé sur son zeb quelques instants encore puis je me suis retiré et m’écrouler à plat ventre à ses cotés. Son sperme avait d’abord coulé de mon cul sur son bas ventre et ses cuisses avant de me coucher. Puis, à plat ventre sur lit, épuisé et heureux, son sperme suintait entre mes fesses vers mes couilles.
Nous sommes restés plus d’un quart d’heure ainsi et j’aurais bien voulu lui sucer et nettoyer le zeb mais j’étais fatigué, épuisé et ma position à plat ventre, les cuisses écartées, l’anus ouvert et le sperme coulant sur mes couilles, j’étais l’image même de l’abandonné, le soumis à cette queue que je ne connaissais que depuis quelques heures. J’étais dépucelé et initié complètement à la sodomie. Je pouvais maintenant laisser d’autres zeb glisser dans mon cul, faire admirer et désirer ma Terma à d’autres, les faire baver de désir puis, offrir mon cul pour faire baver de sperme leurs gros zeb. Un avenir de plaisirs s’ouvrait devant moi grâce à ce gendre si gentil et si serviable. Il a donné un à ma sœur et il m’a donné à moi un passeport pour les futures jouissances sexuelles. Chaque soir pendant ces vacances, nous allons jouir ma Terma et moi, du zeb de Mr Kadda, mais qu’est ce qui peut m’empêcher de draguer d’autres gros zeb sur la plage ou ailleurs et même les amener ici dans le studio de Mr Kadda, dans la journée, pendant qu’il s’amuserait avec ses jeunes amis sur la plage. Quant il reviendra le soir, l’odeur du sperme de ces inconnus qui auraient éjaculé dans mon cul se confondrait avec l’odeur de son sperme en moi, sans qu’il se rendre compte. Je lui serais infidèle car je suis libre de ma Terma, de mes plaisirs et jouissances. Il parait que les zeb des africains sont plus longs et plus épais que les autres et que leur jus est plus abondant. J’en ai aperçu sur le bord de mer et je pourrais en faire l’expérience, bientôt. Avec ces gens, mon anus sera certainement encore élargi mais il est assez souple pour se refermer ensuite. Et mon cul est assez profond pour accueillir leurs longues queue jusqu’au fond de leurs grosses couilles. J’en rêve déjà et ma Terma commence à me démanger dans ces fantasmes. Je vais planifier tout cela. Réveillé de mes pensées érotiques, je suis reparti ensuite vers ma chambre, comblé de la Terma et du cul mais aussi des fantaisies dans ma tête. J’étais heureux comme jamais je ne l’ai été dans ma vie et j’attendais mon avenir avec joie et espoirs. Cette nuit j’ai dormi comme un loir, totalement satisfait et rassuré.

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